Combien de sang encore? di Jeannine Gérard (Riflessioni)

* * *
Les guerres commencent toujours
par des disputes
pour arriver ensuite
à des gestes extrêmes...

"la Haine!"...

qui,
comme un ivrogne
au fond d'une cantine...
s'abreuve et se nourrit
du sang de ses victimes.

Elle a le sort lamentable
de ne jamais s'endormir.

Et voilà
que les guerres éclatent
à l'infinie.

Le bulletin ne tarde à arriver...
et le jour devient noir
plus noir que les nuits.

Sur l'écran...
encore des jeunes soldats
morts en guerre.

J'entends fort le cri des mères
des épouses et des fils
qui pleurent leurs chers.

Êtres innocents qui, seuls,
périssent dans la boue
et se noient dans leur sang
sans avoir assez vécu
pour comprendre ce qu'ils ont fait
pour mériter de ne plus vivre.

- Seuls émissaires
de paix et solidarité -

dans des pays
qui ne connaissent
ce qu'est l'humanité,
où des terroristes sans scrupule
violents et totalitaires,
disciples d'une religion
assassine et primitive,
sont prêts à frapper
utilisant comme armes
leur même vie.

Nous nous rapellerons toujours
de Kaboul,
où sont morts nos frères.

Mais rappelons- nous aussi
de l'attentat à Nasseria
de la Palestine... d'Israël...
de la Russie...
les camps d'exterminations...
les "World Trade Center"
en Amérique,
la Libye...

"C'est là l'humanité!"

Où dans chaque guerre
il y a des femmes violées...
des enfants tués...
des soldats qui vivent en solitude
et affrontent leur seule ennemie...

"la Vie!".

Qu'ils doivent combattre
pour ne pas la perdre.
.
- - - - -
.

Quanto sangue ancora
.

Le guerre cominciano sempre
con dispute
per arrivare poi
a dei gesti estremi

"l'Odio!" ...

Che,
come un ubriacone
in fondo ad una cantina,
s'abbevera e si nutre
del sangue delle sue vittime.

L'odio ha la sorte lamentevole
di non addormentarsi mai.

Ed ecco che, infinite
scoppiano le guerre.

Il notiziario non tarda ad arrivare...
e il giorno diventa nero,
più nero della notte.

Sullo schermo...
ancora giovani soldati
morti in guerra.

Sento forte il grido delle madri
delle mogli e dei figli...
che piangono i loro cari.

Esseri innocenti che, soli,
periscono nella melma
e annegano nel loro sangue
senza avere vissuto abbastanza
per capire cosa hanno fatto
per non meritare più di vivere.

- Sol latori di pace
e di solidarietà -

in paesi che non conoscono l'umanità.
dove terroristi senza scrupoli
violenti e totalitari,
discepoli d'una religione
assassina e primitiva,
sono pronti a colpire
utilizzando come armi
la loro stessa vita.

Ci ricorderemo sempre
Kabul,
dove sono morti
i nostri fratelli.

Ma ricordiamoci anche
l'attento a Nasseria...
la Palestina... Israele...
i campi di concentramenti.
le "World Trade Center"
in America.
la Libia...

"Eccola l'umanità!"

Dove in ogni guerre
ci sono donne violentate ...
bambini uccisi...
soldati che vivono in solitudine
e affrontano la loro sola nemica...

"la vita!".

Che devono combattere
per non perderla.

* * *

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L'edera

Combien de sang encore?