Ivresse d’une danse,
qui conte l’élégance;
Ivresse de mots,
pour chasser tous ces maux;
Ivresse du coeur,
en quête d’un bonheur;
Ivresse d’un soupir,
autour de fous rires;
Ivresse de ton essence
pour combler ton absence;
Ivresse de vos
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Douce vision,
sourires accomplis,
dans des yeux océans,
qui chantent la vie.
Un lien tissé
par des algues,
danse parmi les vagues,
au rythme de l’éternité.
Voici la radieuse mer,
qui brode ses dentelles,
pour son ruisseau Apollinaire,
qui
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doux hurleurs de vie_
enchainés par les brumes
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Cristallin amoureux,
épouse le chant de mon coeur,
criblé de doutes sourds,
indices de pas soucieux,
lents et hésitants,
enlacés par des bras tremblants.
Jette ma peur de l’abondan,
où nul ne saurait venir,
sabrer mes sentiments,
inscrits dans
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La liberté déploie mes ailes
et l’envol se précise .
Voici de nouveaux horizons,
au coeur de mon être,
d’un mystérieux univers,
qui embrase mon esprit,
et cultive cette sphère inconnue .
Mon épiderme tisse
des plumes de soie.
Je me souviens
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Sur les berges de vos critiques aseptisées,
danse le Baobab aux couleurs du messager.
Il contient en son creux mystérieux,
toutes les missives du conteur,
qui transmet les sagesses de vie.
Sur les rives des vos critiques stériles,
chante le Baobab
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Vous pourrez effeuiller le coeur
avec vos gueules d’anges,
Vous pourrez capturer le coeur
avec vos mains satinées,
Vous pourrez chavirer le coeur
avec vos discours cajoleurs,
mais si vos pensées sont succubes,
tournez vos rayons ailleurs.
Si
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Aussi éphémère soit la rose,
sous les rives d’un tsunami sociétal;
elle laisse un souvenir impérissable,
sur un chemin tapissé de pétales.
Aussi frèle soit la fleur d’if,
sous des vents hautains et intempestifs,
elle imprime sa fragance
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Vous êtes ces rayons
qui caressez l’infini;
vous êtes ces branches
qui effleurez l’azur;
vous êtes ces racines
des profondeurs terrestres;
vous êtes cette sève nourricière
emplie de savoir et d’amour .
Vous êtes cette course
sur le train de la
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Comme une brise
ondoyante et sereine,
navigue ton souvenir.
Des sentiments profonds,
restent tatoués,
dans chaque fibre,
d’un coeur aimant et
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Chaste idylle
enclavée dans mon âme,
comme un parfum
inscrit sur ma peau,
la brise de tes mots caressants,
emenaient de doux frissons.
Je fusionnais entre tes bras,
organza de mon être.
Silencieuse musique,
indicibile émotion,
à l’orée de nos
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Cordes d’émotion,
éternel sentiment
cristallisé dans le firmament.
Idylle au coeur de nos
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Mystère d’un sentiment,
né au coeur de l’amitié.
Fusion de vies opposées
qui se rencontrèrent à distance.
Douceur de l’amour
tissé par un hasard dansant,
scandé par la brise
de tes mots charmeurs .
Tu fis le premier pas
en ébranlant mes
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Sentier entrouvert
dans ce mystérieux univers,
teinté de tes gammes,
qui pincèrent les cordes
de mon coeur assoupi,
embrasé par les brumes
de ton âme endormie.
Aujourd’hui il reste fêlé,
par ton envol précipité.
Et la foule insouciante,
à ma
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Rafales d’amour_
au bord des lèvres
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un cœur subjuguant_
aux portes des
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cœur désenchanté_
par un. prisme
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Sève alchimique
tissant la douce
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Je me souvins d’une émotion,
scandée par ta déclaration;
le trouble de ma timidité
subjuguant ton coeur océan.
Puis survint l’émoi
dans un esprit embrumé;
des réponses hachées,
des silences pétris de peur,
aux charmes involontaires .
Et
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Regards innocents,
jetés dans des tourbillons,
par des bourreaux immondes,
spectres de ce monde.
Regards absents,
ignorés des gens,
ensevelis sous les décombres,
là où l’espoir sombre.
Regards perçants,
voyageant dans le néant,
en quête
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Sous la mouvance,
quelques âmes se rapprochent.
Dans un devenir incertain,
ces êtres entrouvrent leurs mains,
emplies de stigmates.
Puis, ils observent tous ces automates,
qui bradent l’essentielle de l’humanité,
pour des flashs de
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celestiale paix_
oiseau de
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Comme une goutte de pluie
Tu as nourri un terrain aride
Comme un rayon de soleil
Tu as éclairé un sentier obscur
Comme le chant d’un rossignol
Tu as réveillé une forêt dormante
Comme un jour du printemps
Tu as rompu un hiver constant
Comme un
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trop égoiste_
au sang de nos
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Amour enfanté et amputé,
rivière de mots sibyllins,
bercés par une sève
revitalisante et alchimique.
Origami des sentiments forts,
recueil de tes cendres chagrines,
éparses en cette mer amère,
silencieuse et abyssale .
Comme un souvenir
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| Céleste ange lunaire,
écoute l’écho de ma voix.
Clameur d’une mer solitaire,
inspirant l’hymne à la joie;
love- toi dans nos cœurs,
enclins au juste bonheur.
Enfant de l’amour,
navigue sur mes flots soyeux.
Zéphyr d’un retour,
offre- moi tes
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Chrysalide de nos cœurs,
éclatante de bonheur;
carrefour de nos destins,
inscrits sur ce parchemin;
linceul de nos âmes troublées,
emplies d’un frisson inégalé.
je me souviens de toi,
origami d’émois;
subjuguant mon esprit
inexpert en amour.
Au
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un chant s’éveille_
dans le prisme de
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| Jeune et délicieuse âme;
Ö toi qui a la flamme,
Inscrite dans ces prunelles,
Empreintes de tes merveilles.
Douce enfant féerique,
Universelle et unique.
Chatoyante perle de voix,
Ondoyant minois emplie de joie.
En toi, je sus réanimer
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| Ton ciel est mon papier
là-haut quelqu’un d’autre écrit
pour la louange sans récompense
pour la couronne de laurier
pour
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