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Agosto 2025 |
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892 Poèmes en Français: le recueil de poèmes publié en Français |
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J'aime le souvenir
de lorsque agiles,
Toi et Moi...
on se poursuivait
dans les champs
nous amusant,
enivrés et heureux,
la fièvre
à nous inonder
les veines
épris
par la même
indiscrète
leggi

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 | -
La lune ce soir
joue de son insolence.
Elle envahit mon moi...
Affligé et épuisé,
mon cœur demande à mon lit
le lourd sommeil sans songe.
Mais me voilà victime
d'une autre nuit
d'insomnie!
Ma
leggi

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 | -
Il y a des jours,
où cruelle,
la solitude
m'opprime si fort
que mon cœur
s'apprête
à ne plus palpiter.
J'étouffe,
mon Dieu,
j'étouffe.
Amère
la sensation.
Ah
l'horreur
de ce
leggi

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 | Cette légende
est séduisante magie.
Elle parle de l'Amour
des Dieux d'antan.
De l'Amour qui,
quand il nous tient,
on peut bien dire,
adieu prudence!
Et Zeus,
Dieux de l'olympe,
en est bien la victime.
Et comme
leggi

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 | -
J'écoute incrédule
les nouvelles du jour.
Encore attentats et outrages
envers l'humanité.
Prise à l'assaut,
consternée,
Moscou
pleure ses morts
et ses blessés.
Lourd le
leggi

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 | -
Nos pieds volent
comme colombes blanches.
Humoral,
le soleil donne spectacle ce matin
après s'être disputé avec janvier
à coups d'averses.
Les arbres ont feuilles
à l'âme
leggi

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 | §
Des notes
d'une beauté magique
remplissent
la chaude atmosphère.
L'oreille au guet,
cachée dans la pénombre,
lentement je m'envole...
Suspendue
au souffle d'air,
j'épie les amis
qui
leggi

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 | §
Je me rappelle souvent
de tes avances
un peu osées.
Je riais et rougissais
devant
ton arrogance.
Effronté!
Sûr et fier
de ta masculinité,
tu jouais prétentieux.
Conscient
que tôt ou
leggi

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 | §
Un jour
vous me disiez:
"pourquoi cette tristesse infinie,
pourquoi te nourris- tu toujours du passé,
le présent et le futur n'existent- ils
dans ton langage?".
O oui!
Tous deux existent et comme.
J'y vis
leggi

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 | §
Dans le silence
recouvert de mutisme
j'erre sans but.
J'ai vécu si longtemps
à l'ombre de son ombre
que sans elle,
-ma vie n'attend plus
son vivant-
J'adorais mes rôles
d'épouse amante
et
leggi

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 | -
Il était une fois
les collines d'un village
couvertes de moulins à vent.
On voyait partout que des ailes
couleur d'or et d'ambre
qui viraient au mistral et à la tramontane.
Il y régnait joie et richesse
et
leggi

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 | §
Sais- tu
que même les souvenirs
les plus beaux
les plus voluptueux
ne consolent?
Je prie les yeux fermés.
Oui, je prie
et je veux vivre.
Regarder le soleil se coucher
et m'émerveiller encore.
Pourquoi
leggi

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 | §
Nue!
Ce matin j'ai imprudemment
interrogé le miroir.
Railleur et sarcastique
son ton.
J'en entends encore,
sombre le son...
"Contemple- toi ma chérie,
contemple- toi,
le déclin est
leggi

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 | §
Ô Daphné,
Nymphe des bois,
vierge farouche
et chasseresse,
fille de Géa
et du fleuve Pénée.
Sais tu que ton père
se désespère
te voyant éconduire
tous tes
leggi

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 | -
Où étais- tu
quand j'avais soif
de savoir
et à jeun,
j'avais faim de caresses?
Triste le souvenir d'antan
de quand tu t'en allas.
Je sens encore
les larmes
glisser
dans ma bouche
et jamais
leggi

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 | Je dors dans un lit
où, omniprésente,
est l'infernale vision
du sang qui déborde
comme un fleuve en crue
de ta bouche exsangue.
Dans l'obséquieux
silence,
mon cri inhumain
effraie les
leggi

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|
 | J'ouvre avec tendresse
un écrin à la couleur bigarrée,
Je le conserve depuis
toujours.
Il renferme reliques
d'un temps légendaire.
J'y fouille et y découvre
comme dans un immense caveau,
photos en
leggi

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 | D'un pas
lent...
dans la mobilité
pressantes des heures,
j'éventre
le jour.
Seuls complices
de mon Je?
la Nature
et ses mystères.
Me perdre
là...
où la vie
semble se refermer
alors que le
leggi

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 | La langueur qui me dévore
aurait besoin pour s'assouvir
d'autant de nectare
qu'en peu tenir un puits.
Pauvre Moi!
Que c'est un dur métier
que de rester sur la crête de l'onde.
Ô indolents!
Connaissez- vous
leggi

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 | -
Deux coupes étincelantes
d'écumant Champagne
et je trinque
à nous deux mon Amour!
L'écho cristallin
retentit dans l'air
et mon imagination
galope loin...
Mes souvenirs affleurent
et ivre de
leggi

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|
 | §
L'aube revient,
vague sans espoir.
Futiles instants
ces heures de lumière
qui dans un tourbillon,
s'abîment
dans l'infini
des flots.
Et la voilà,
la nuit vraie,
où tout se tait,
où
leggi

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 | *
La lune répand
sa paisible lumière
dans la nuit
pleine d'ombres rampantes.
Je tourne et me retourne
dans mon lit
où éplorée,
je pense à mon départ.
Nostalgique je revois,
sous mes
leggi

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|
 | *
La pendule sonne minuit,
les feux d'artifices retentissent dans l'air.
Le monde entier
fête une nouvelle année.
Pas une étoile à illuminer le ciel
vétu de deuil pour l'année
qui vient à
leggi

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 | Agonisante
la nuit.
L'esprit fiévreux
je compte les heures
et à chaque heure
une larme.
Bientôt le jour
à me rappeler
que je dois m'envoler
encore une fois
vers de nouveaux
horizons.
Quelle force
leggi

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 | *
Qu'il est doux le soir
de se coucher
sur des oreillers
moelleux
et de voir à travers
les rideaux
le sombre azur du ciel
s'illuminer de mille étoiles
et une intrigante lune
qui veut savoir...
Qu'il est doux de
leggi

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 | Perdue au beau milieu
de la foule,
j'attends sur le quai de la gare
que l'on me voie.
Rien
n'est plus émotionnant
que de se rencontrer
après un an d'absence.
Le temps de chercher du regard,
que me voilà
leggi

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|
 | Le temps de boire
au fond d'une tasse
la dernière goutte
de café,
que me voilà sous le ciel
qui bleuit mon espace.
Me perdre là,
c'est mon vœu.
Du regard,
je fouille l'horizon.
Des éclats de
leggi

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 | *
Quelle est cette langueur,
qui me poursuit toujours?
O toi,
qui comme une ombre éphémère
tu es entré dans mon cœur,
écris- moi
avec des mots
tracés de ta main,
quelque chose
leggi

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 | Dans l'enchantement
un peu prismatique de l'aube,
"comme si la vie
n'eût aucune envie de commencer",
je m'en vais d'un pas rêveur
à travers un sentier solitaire.
Dans un angle douillet,
une Madone azur
leggi

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 | Le train roule à toute vitesse.
Les paysages enneigés défilent
sous un ciel à peine irisé.
Les wagons comblent de voyageurs
qui s'agitent et conversent.
Je les écoute sans entendre.
Lointains sont
leggi

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892 poesie pubblicate in Francese. In questa pagina dal n° 751 al n° 780.
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