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892 Poèmes en Français: le recueil de poèmes publié en Français |
Pourpré, brillant,
il se levera
de ses cendres
encore plus beau
mon phénix.
Dalle sue ceneri
Di purpureo
leggi
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| Là,
en ce lieu
du rêve assassiné
et lieu du rêve
en perpétuel devenir,
alitée comme le jour
sous le poids des heures,
fort découragée,
seule dans l’ombre,
j’ai froid!
Je me
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| Dans l’océan du soir,
retirée en ma couche,
un secret douloureux
me brûle et me consume.
Comme un enfant bercé
par un chant monotone,
je tète ma douleur
et je ferme les yeux.
Oh! ...
Toutes ces
leggi
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| Un autre jour.
Un de plus.
Que d’heures se perdent.
Que d’instants précieux
s’éloignent.
La vie est bien brève.
Les années se multiplient,
la vie s’écoule...
L'horizon au
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| Auschwitz?
Ou plus simplement,
Camp de concentration?
Camp d'extermination?
Mais mon Dieu,
où étais- tu?
Dormais- tu
alors?
N'entendais- tu pas
qu'un simple
"Achtung"
faisait
que chaque jour...
millions
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| Sous un ciel
fourmillant d'impudeur,
prise de frénésie,
éventée de brise douce,
je me soûle
d’un merveilleux
couchant.
Ô ivresse...
La tête et les pieds
dans les
leggi
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| Il y a toujours
dans la vie,
quelque chose
qui,
pour un instant,
nous coupe le souffle.
Même les rêves!
Et cette nuit,
prise de folle envie,
dans mon lit,
aux draps
froissés
par la tourmente,
je t'ai
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| Serait- ce l'inassouvissement
du désir
qui suscite en moi
tant de délire
et m’exalte
à ne pas fermer l’œil?
Chaque nuit,
plus de cauchemars
que de doux rêves.
Hallucinations...
apparitions...
leggi
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| ~ * ~
Sur les montés des alentours
où la terre à vif
est lacérée par l’usure,
traversée par le vent
comme si j’étais sans corps,
quelque chose
de violent et de bizarre
s’empare de mon cœur
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| Le compte à rebours
a commencé.
C’est avec un grand respect
dans l'âme,
comme devant un prodige
incroyable
mais pourtant réel,
presque tangible,
que je regarde par la fenêtre
les cirrus vaporeux
qui
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| Ô lune,
sentir le froid
de ta scintillante clarté.
O nuit de gel
et de neige cruelle,
je n'ai qu'une envie...
« me disputer avec le silence,
et oublier la viduité. »
De tous les bruits
de la
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| Absorbée
dans mes pensées,
il m'est amer de voir
les souvenirs lointains
lentement s'élever
comme une épaisse nuée.
J'écoute frémissante
le vent gémir.
Le ciel est
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| Plongée dans des pensées
fantastiques,
j' écoute
le bruit de l’ heure
et contemple la nuit
qui descend
lente et solennelle.
Alors que les étoiles
osent à peine se montrer,
pour me veiller,
la
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| Dans un coin,
bien caché
des yeux indiscrets,
un écrin.
Il est, cet écrin,
comme un
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| Il est un air
languissant et suave
qui, chaque fois
que je viens à l'entendre
c'est à toi
que je pense!
Et me voilà déjà
dans le pays des merveilles,
dans l'éden
aux vivantes
leggi
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| Je prends et quitte
cent fois la plume.
J’hésite!
Je ne sais
par où commencer.
Ah! malheureuse,
ce que je souffre parfois,
je ne le dirai pas.
Mais je m'afflige.
Moi déjà si triste
et
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Des enfants sans prodiges,
des masques sans profil et sourire,
des poètes sans stylos,
des moribonds qui voulaient souffrir.
Ici,
dans cette solitude sensuelle,
repose un homme et son armée,
cruels comme les baisers,
et faibles
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| Mes nuits sont teintées
de nostalgie.
Le poids de l’absence
m’accable.
Mes rares moments
de sommeil
sont
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| C'est à Venise
que nous célébrions
les noces d'argent.
Un rêve celé
depuis le jour
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La vie nous émerveille
tu sais bien cela
Mais toute ma merveille
simplement c'est Toi
Parce que
je viens chez toi
et puis
tu viens chez moi
Alors il faut que nous
ne nous en soucions pas
si de jour en jour
entre moi et
leggi
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Quels péchés
ai- je fait
pour ne plus t'avoir
à mes côtés.
Dans le fond
de l'abîme
où ensevelie
vivante,
je cherche
une issue,
je sens toute
ma fragilité.
Seule une photo
me
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| Alors que la nuit
s’éparpille,
je m’enfonce
dans un sentier
précédant les vents
Là,
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| Parfois une parole
ne coûte rien,
la dépenser fait du bien
à qui la reçoit
sans appauvrir le bagage
de qui la dépense.
Elle peut être éternelle
ou mourir à l'instant
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| Dans ce splendide
espace
où les heures
sont exclues
et où les tombes
défendent la mort
de
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| Combien ce silence
est cruel.
La vie semble se refermer
comme à la tombée du jour
on replie sur le logis
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| C'était il y a bien
longtemps.
Ce souvenir
n'est point pâli
quand adorable
et vêtue de grâce,
Muse,
j'inspirais peintres
et poètes.
Je revois l'Amour,
cet entier oubli de soi.
Les imprudences, le
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Sous l'Azur attendri
d'Octobre,
immergée
dans l'ocre et le vert
du paysage,
ivre de vent,
le front sillonné
d'un grand pli,
sans doute
de chimères rempli,
je vais...
perdue dans un solo
me grisant
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| ~
J'aime, oui, j'aime
et je ne me lasserai jamais de le dire,
guider mes pas
à travers les traces
de ceux qui,
avant moi,
ont parcouru ce chemin gravé
par le temps.
J'exulte...
Voilé d'une brumeuse
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| Réveillée par une angoisse
qui surgissait d'un rêve,
je me relève à demi
dans mon lit
et tristement m'assieds.
...
« Ton visage m'échappait.»
J'essayais de te recréer
et ce
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| Le plaisir
a fui mon lit
pour aller se vautrer
dans d’autres lits
plus alléchants.
Ainsi,
me voilà vieille
comme si j’avais
mille ans.
Quelle surhumaine
exaltation
soutient mon esprit
tandis que mon corps
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892 poesie pubblicate in Francese. In questa pagina dal n° 421 al n° 450.
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