Même si le temps s’écoule,
À l’aube de vos vies,
Recevez les gammes, dune gente dame,
Imprégnée d’amour et sans détours,
Excellant dans le cœur de son aimé.
Pour lui le monde tourne sans contrefaçon,
au rythme des saisons de sa dulcinée.
Un
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Savoir souffler dans nos consciences,
Obscurcies par nos deuils ensevelis.
Préparer et réparer nos esprits meurtris,
Happés par les trains de la vie.
Identifier nos enchevêtrements quantiques,
En démêlant les fils symboliques.
Longer les sentiers
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À l’aube de cette toile,
tout se dévoile.
Des myriades de comètes,
tombent des cieux,
comme des rivières de souvenirs,
imprimés dans un sourire.
Un ciel emplit de galops,
danse sur les flots,
et regarde l’horizon,
qui offre sa floraison,
aux
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| Les brumes d’été,
se répandent sur la tête,
des reptiles cendrés,
qui aspirent d’une traite,
les rayons du soleil.
Tandis que l’âme
déploie ses ailes,
au- dessous du poison vivipaire,
niché sous le sable du desert.
Le cœur meurtri
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Sur les berges du passé,
se figent les promesses,
en quête d’éternité .
Elles laissent des nuages vides,
brodés sur un canevas habile.
Pour des projets dépourvus de fils.
Né d’un esprit sans nid,
pour une âme en sursis;
l’essence d’une
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Clivant esprit corrompu,
apaté par le spectre du pouvoir,
Repais- toi des richesses de l’enfer.
Le vile Juda vis en toi,
ou serait- ce Ponce Pilate,
servile toutou bureaucrate.
Bing Ben sonnera,
et ton heure viendra,
comme une écume,
chariée
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Un regard au loin,
cherche un chemin,
Parsemé de quelques clés.
Inquisiteur ou rêveur,
flânant sur les tiges des fleurs,
ou dans les berges de
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| Nouvel an,
inscris sur ta partition,
Nina, comme gamme celeste.
Adorable nourrisson,
brode sur nos cœurs,
les lianes de nos ancêtres,
au royaume des câlins.
Nuages de soie,
carillonnez cette ode,
messagère d’une venue,
à l’aube d’un jour
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| Sous le joug de la vie,
danse la mort;
telle une esclave,
au service de l aube.
Celle qui retient le geste
et rouille la faucille,
bien trop désireuse de faucher,
la rosée du matin.
C’est au chant du coq,
que l’ombre s’éloigne,
balayée par
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| Jeune étourneau,
éternel Caliméro,
aux portes de l’oubli,
n’oublie jamais ta vie!
Derrière les épreuves didactiques,
austères pour tes yeux clos,
navigue l’égide d’une mère unique,
inscrite sur le registre de tes flots.
Elle te guide vers
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Sphère amère,
danse solitaire,
versants boisés,
champs de blés.
Sur ce sentier sinueux,
les bourgeons des amoureux,
entrelacent chaque pétale,
et caressent l’herbe sentimental.
Les âmes unies,
redessinent un paradis,
brodé par des
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| A chaque fausses notes,
se meurt notre idylle,
bercée par ton passé;
rivière de cicatrices,
en quête de mutations.
Ô toi guitare acoustique,
aux cordes
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Aujourd’hui son absence,
ressemble à cet abyme .
N’oublieras- tu jamais,
ce petit être qui t’a aimée?
préserveras- tu sa sève,
dans ton
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De tendres aboiements
sur la partition de mon âme;
puis des myriades de joie
dansant dans les fibres Purkinje.
En véritable chienne joueuse,
tu hébergeais l’affection,
dans tes yeux de velours.
Tes petits bonds festifs,
comme des dentelles du
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Mâle nombriliste,
âme sans gammes,
tu cautionnes des courtisans,
tout disposés à te flatter.
éternel carriériste,
inscrit dans ton Karma;
aux portes du vice,
naviguent tes actions,
dénuées d’impartialité.
regarde ces vermines,
épris de
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Une rose pour un être disparu,
une rose pour sa grande vertu,
une rose pour une mère aimante,
une rose pour son âme charmante,
une rose pour un cœur pur,
qui
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Quand ses yeux changeront,
dans un autre firmament,
elle emportera avec elle,
sur ses douces ailes,
la tendresse de ton affection,
le souvenir de tes attentions,
en gravant dans ce cœur apaisé,
en ce jour léger,
ton éternel amour,
qui embaumait
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Clamer Ton amour
Pour que je lâche prise;
c’est là ta quête,
pour me bouleverser?
Dans un recoin de mon cœur,
empli de méfiance,
tapis sous chaque cendre,
la flamme pourrait renaître.
Mais ma mémoire d’éléphante,
se souvint de tes joies
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la mémoire d’éléphante,
est celle qui enfante,
des souvenirs d’amour,
qui s’éveillent au petit jour.
la mémoire d’éléphante,
est celle qui te conte,
les déchirements du cœur,
qui s’évadent ailleurs,
pour revenir en surface,
lorsque les leurres
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Cache tes émois,
et cultive- les en toi;
comme ce pouce vert,
inscrit dans mes vers.
Laisse ces graines,
envahir tes veines.
Je réfute l’égoïsme,
ondoyant et sans rimes;
seule la sagesse,
invitée au forum de la pensée,
entrouvrira ces pousses
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Si je suis triste,
je ne noierai plus,
dans cette mer agitée,
emplie de larmes salées,
de mots bien futiles,
de promesses inutiles,
de parures de diamants,
qui ne brillent au matin,
que pour les faux amants,
vivant dans les banlieues du
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A présent c’est le silence.
Mystérieux cri de l’amour,
ombragé par le passé,
regardant ce futur,
en quête d’éternité.
Ainsi tu es là,
mesurant chaque pas,
outre tes mots.
reviens- tu vers moi?
Une seule question
cherche à savoir,
comment tu
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Sur nom vitrail,
une pièce de ton émail,
a disparu du mosaïque;
et ton essence chromatique,
manque à mon âme,
presque blafarde.
Me voici en quête de toi,
dans un monde sans émois;
le désir de nous réunir,
se fait donc sentir;
car il manque
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Juste un leurre,
pour une vraie lueur,
qui embrasa ta vie,
en recueillant ta félonie.
Fragile et profonde,
ma respiration t’offrit l’essence,
et obtint l’énorme vide,
de ta triste existence.
L’éloignement fut ici,
ma bouée de sauvetage,
dans ce
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J’attendrai que la lune compose,
les lueurs du cœur,
sur les bordures d’un
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A vos marques les félons,
unis dans vos exactions.
Xyloglottes en puissance,
pitoyables vermisseaux,
insipides cerveaux...
tant de suffisance,
tant de vacuité,
outre vos pensées,
yoyotent de la touffe,
au rythme de vos esbroufes.
Bonnes gens
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Ô toi mon amour,
que je croyais pour toujours;
vivre dans tes bras à jamais,
dans un lien plus solide que l’étain;
puis, m’évanouir sous tes baisers,
plus ardents que des brasiers.
Ô toi mon cœur,
chant de ce bonheur,
qui berça un pan de ma
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La brise d’amour_
passe sous un
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Il est l’heure de s’éveiller,
l’heure de se dénuder,
l’heure de tendre l’oreille,
pour guetter le vent qui soupire;
il est l’heure de
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A la force de la vie,
enfouie au tréfonds des êtres,
emplis de saillies.
Aux cicatrices du corps,
dentelles d’arabesques,
qui forgent notre sort.
Aux âmes dénudées,
loin des artifices,
et près de l’amitié.
A l’alchimie de
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