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892 Poèmes en Français: le recueil de poèmes publié en Français |
| Parmi les roses en sommeil,
la promesse centrale,
d’un breuvage éternel,
aux senteurs florales.
Un amour immaculé,
naissant dans l’éveil,
de bras virtuels,
d’un être tourmenté.
Un baiser intensément perlé,
des caresses esquissées,
tissant
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| Ces cils soyeux
épars au fond des cieux,
contaient la belle amitié,
inscrite ici, pour l'éternité.
Le sourire perlé sur mon visage,
encensait ton doux sillage.
Il existait nos
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Dans la légèreté des ondes
au charme l’âme
concentre le divin
Les couleurs
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| En dépit du ciel chargé de chagrin
et du vent ivre de jeunesse,
me voici ce matin
lambiner dans
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| Papillon du jour,
laisse- moi pour toujours.
Amour en sursis,
jette- moi dans l'oubli.
Audacieux bras virtuels,
ne prenez mon sommeil.
Murmure dans mes nuits,
ignore mes perles de pluie.
Flamme lointaine,
je ne suis plus tienne.
Rose
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| Un rêve à s'y méprendre,
effleura mes pensées;
une promesse inachevée,
me fit langoureusement attendre.
Un baiser magique,
des gestes pudiques,
un cœur innocent,
l'échange des sentiments.
Puis, la
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| Quand les flots bercent mon esprit,
les vagues dansent jusque dans mon cœur.
Quand les embruns marins apaisent ma vie,
les partitions musicales deviennent ma lueur .
Des tsunamis bouleversent toute mon âme,
les courants forcenés
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Cherches- tu la flamme,
qui fasse frémir ton corps,
sous la braise en sommeil,
d'un amour sans ressort?
Attends- tu une lumière,
qui éclaire ton esprit,
errant dans la mélancolie,
de cette mer
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Nous sommes
comme deux soleils dans la rizière
pétris d’enfance et de lumière
dans l’âge d’or
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| Un oiseau bleu, si mystérieux,
déploie ses ailes
et s’envole à tire- d’aile.
Un volatile, si mélodieux,
chante un l’hymne éternel,
qui s’élève jusqu’au ciel.
Un oisillon à l’air mutin,
déverse son sourire coquin,
dans le giron de sa maman.
Un
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| Aux usurpateurs d'identité
n'offre pas ta gaieté;
aux âmes emplis de noirceur
n'ouvre jamais ton cœur;
aux serviles êtres aigris
ne consacre ta vie;
aux narcissiques pantins
n'ouvre pas Ton chemin;
aux parieurs
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| Quand mes craintes
se perdirent
dans les nuages
de l'espérance
et que je m'étonnais
avec une pointe de fierté
que tu pus dépenser
pour moi
autant de gentillesse
que de charme,
flattée,
je me
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| Combien j'ai pleuré
d'amour
sous ces voiles bleus
de la nuit.
Tout devenait poésie
auprès de l'être
aperçu
dans mes rêves.
Pauvre prodigue
que je suis.
Je l'enjolivais
de toutes les
leggi
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L'élégance du cœur
est comme une vague de bonheur;
l'élégance du cœur
n'alimente jamais tes peurs;
l’élégance du cœur
t'offre une douce présence;
l'élégance du
leggi
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Fallait- il que je baisse la garde?
Fallait- il que tu me regardes?
Fallait- il sonder ton âme?
Fallait- il me faire du charme?
Fallait- il accueillir ta douceur?
Fallait- il entrevoir ma pudeur?
Fallait- il que que tu m’enlaces?
Fallait- il
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C'est dans le flot de tes pensées
que mon cœur a voyagé
C'est dans ta berge sans accroche
que mon bateau s'est
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Clapotis de l’âme
loin de tout sacrilège
dans la brise d’un songe
le temps évanoui
dissidente
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La Beauté
c’est ce que tu aimes...
ce qui t’inspire
ce qui t’aspire
ce qui t’éveille
et
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| À vivre le nez collé
sur ses amours...
on finit par dégager
tellement de buée
qu’on ne voit plus
à travers les vitres.
Je fais donc les carreaux,
j’aère...
Je secoue ma cervelle
à bout de
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| Lorsque tes mots perlent jusque dans mon coeur,
ils cheminent dans les méandres de mes peurs,
semblables à des étoiles filantes,
aussi belles qu’une écume pétillante...
Alors, ma constellation amoureuse,
s’offre à toi, céleste et radieuse.
Lorsque
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| Et pourtant les mots coulent
comme une assemblée
en plein cœur
Quelque part on raconte
ailleurs on
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| Dans le flot des paroles
dansent les destins
coeur chagrin paternel
bienheureux enfantant
nostalgie de la
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| Je viens à toi
les mains comme un recueil
dans la mémoire des fleurs éblouies
parsemée de
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| Quand tout dort
et que l'oubli
semble planer
sur tous les êtres
et que le son mélancolique
de l'horloge
me compte
impitoyablement
à quelle heure
je suis de ma vie...
qu'elle est grave et solennelle
cette voix
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| Comme
une parole, que
j'ecrive
aussi, dans les mots du mon coeur, je regarde la vie.
L'eau du ciel,
c'est le doloeur
du monde entier:
tu vois,
toutes les creatures
sont sans amour.
Et, voilà,
je donne mon coeur
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| Aux enfants du siècle perdu
les mains meurtries
qui cherchent des appuis
à l’ecchymose des coups
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| La nuit résonne séculaire
gouttes de cristal précipitées...
gouffre vertigineux
n'absorbe ni
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| Désespérée
je blasphème...
"maudite soit
la nuit!".
Désirs impurs
me hantent
et m'empoisonnent.
À mes côtés
le démon...
Je suis en enfer,
je le sens...
Sans
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| Trente ans de ta vie
sous la terre
comme un ver
à extraire l’énergie
de demain pour les
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| J’ai un bleu pâle dans le cœur
La morsure de tes yeux
Et toute cette fièvre blanche
Qui brûlait nos joues
Comme l’amour est assassin
Jusqu’à réunir nos ombres
dans la forêt des songes
je suis encore au
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892 poesie pubblicate in Francese. In questa pagina dal n° 211 al n° 240.
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