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892 Poèmes en Français: le recueil de poèmes publié en Français |
Sans vraie malice,
nue et sans épée,
comme le petit
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| Désormais dans les cieux,
Éternelle fleur des mille lieux.
Plus aucune souffrance
Anime ton visage déteint.
Regarde l’espérance, et...
Tourne le dos aux malandrins.
Pour oublier ces amertumes,
Où que tu sois dans l’infini,
un vent caresse les
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| Le nouveau jour
ne fait pas une vague
Je reste feutrée
dans le silence des ombres
Bienheureuse la saison
qui tremble
comme une brûlure en plein cœur
Je vins au monde
dans l’absolu qui sonde
L’absence
ma plus douce
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| Laisse courir le son
des yeux roux de l’automne
sur la couche cendrée
d’une rose d’hiver
Un papillon brasse la lumière
dans l’éclat de la nuit
quand surgissent les ombres
et tout royaume s’enflamme
sous le bruissement du
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| Laisse- moi pleurer, ô toi,
Étoile des cieux,
Splendide mer.
Laisse- moi déposer
Au cœur de tes nuages,
Rimes d’amour et d’affection.
Mille étoiles enchantées,
Étincelantes comme jamais,
S’élèvent jusqu’à toi.
Douce amie,
Unique et
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Le tourbillon des souvenirs,
embaument les cœurs meurtris,
d’une sensation de
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Sans un amour vrai,
les sillons des
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Dans les maux de la terre
la nuit notre hécatombe;
des enfants désarticulés
balbutient la
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acclamez en joie_
le chemin des
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| Printemps d'un amour automnal,
Laissé au déclin de l'été .
Union de deux cœurs amoureux,
Inscrite dans un avenir pluvieux,
Entrelacé de perles gelées.
Finie la saison des mille tendresses.
Ici tout se
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Lentement je m’endors,
sur un lit de larmes.
Quelle sera ma mission,
dans un monde sans ressorts?
S’enquière mon cœur,
en observant tous ces leurres.
Quelqu’un m’offre la contrefaçon
d’un amour infini,
en portant mes sentiments vermillons,
aux
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| Parce que je t'ai pardonnée,
Aujourd'hui je me libère de toi.
Regarde ces abîmes calfeutrées
Dans les dédales de ton esprit.
Otage de tous tes tourments,
Ne vole plus notre firmament.
Navigue sur des eaux
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A l’orée de mon cœur,
la douleur en sommeil,
tournée vers le ciel,
murmure un chant
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Danses et envolées romantiques
unissaient nos esprits aiguisés.
Nos corps et nos âmes mélancoliques
effleuraient les sommets de l’éternité.
Tressaillements de rires et d’émotions,
regards teintés de braises,
indicibles élans d’une
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Dans l’antichambre,
la vie scande un adieu
et l’amour se meurt.
Sur le pas de la porte,
les yeux regardent sans fin,
gémir nos cœurs.
Nos grands espoirs,
fleuris dans cette histoire,
semblent se flétrir.
Puis une étincelle,
Aux couleurs de
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Au gré de ma joie je t’emmenais
lointaine amie des hivers,
ton sourire amer j’effaçais,
Jeune fille sans repère.
Pourquoi quérir l’affection en toutes saisons
et la jeter dans le parchemin des velléités?
Pourquoi se jouer de la crédulité
et se
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Jeune âme triste et égarée
ondoyante et effarée,
seule toi saura te sauver.
Invisible pardon scandé
à l’encre des mots
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| Nul ne voit les perles nacrées de l’amour,
invisibles gouttes de sentiments,
naviguant silencieusement,
à l’abri des déserts affectifs.
Quantité d’âmes vénales,
unique en leur genre,
incitent les êtres fébriles,
comme si de rien n’était,
A
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| Il est difficile lorsque les oiseaux noirs vous attaquent
se battre seul contre tous.
Si vous maîtrisez le
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| Dans les cœurs impurs
la voie sacré du
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| Désolation improbable d’un monde
Éphémère et pourvu de faux- semblants,
Serviles fast- foods de sentiments sans ondes,
Étincelles superficielles dans un firmament
Reconnu pour ses déserts affectifs;
Tiens- toi loin des cœurs purs et entiers
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Cachés sous des vagues inconnues,
d’une toute autre contrée,
d’une nouvelle destination;
on se rencontre sans se voir,
on se parle dans l’invisible.
Et nos oreilles sourdes,
aux souffles des mots silencieux,
en oublient de cueillir
le chant de
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Parfois les étincelles
transcendent le présent
et le passé se fond
dans l’avenir
La nuit
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Je laisse toujours tout dériver
c’est le principe du mouvement
et je demeure en gestation
creusant ma propre
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Sentiers des déserts,
fragments d'un passé
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Regarde dans mes yeux,
Éternelle amie tendre,
Navigant dans la sphère
Augurale des adieux.
Indicible connexion
Surgissant du néant;
Silencieuse complicité
A laquelle nul ne comprenait.
Navigue aujourd'hui, dans nos
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Au milieu des dentelles de nuages,
le ciel cache tout le flot de son chagrin.
Les plissures de son céleste visage,
trahissent une douleur sans lendemain.
Et voilà qu’une multitude de flocons,
se déversent dans une eau sans horizon.
La majestueuse
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| Un ciel peut- il retenir ses larmes?
Parfois la mer le lui demande.
et le ciel le voudrait bien,
mais déchiré au plus profond de lui même,
il cache sa face,
dans le creux d'un nuage,
et déverse d'un trait,
tout le flot
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Le poète lit là où l’œil ne voit;
Entre les lignes l'âme il perçoit.
Porté par sa plume divine,
Océan d'encre sublime,
Enfoui dans des métaphores
Teintées de perles d'or;
En nous il
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Tout se délite
jusqu’au principe du feu
Il reste encore des sourires
qui fleurissent intérieurs
sur la
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892 poesie pubblicate in Francese. In questa pagina dal n° 181 al n° 210.
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