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892 Poèmes en Français: le recueil de poèmes publié en Français |
Tendre toutefois,
tendre malgré toi,
tendre autour de la soie,
là où l’araignée ne voit
que des filets de proies.
Tendre par choix,
tendre dans mes émois,
tendre au cœur de la poix,
dans un monde parfois,
sans foi, ni loi.
Tendre à demi-
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Les notes dansent en silence.
chaque son brode, une triste ode,
pour un monde qui tant détone,
sur le sentier des velléités.
Les notes jouent sur des vagues floues.
Elles ne sombrent, sous les décombres,
des avalanches sans essence,
qui briment
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La musique pulse en nous,
parfois imperceptible
aux oreilles insensibles,
qui se plient sous les coups,
des dormeurs de conscience.
Les notes, en filigramme,
dansent en silence,
pour ces âmes emplies de flammes,
qui acclament l’émotion,
dans
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Je verrai son après- midi
couper comme une pomme en deux
et mettre dans un hybride.
Certaines personnes
ils n’ont jamais
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Je t’ai poussé sur tous les fronts
te prouver
que celui qui a abandonné la bonté
il n’a jamais été bon.
Je t’aimais
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De l’autre côté du téléphone
J’entends mon propre pouls
c’est une chanson chaotique
un miroir d’aujourd’hui
qui va se
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Donneurs de leçons bancales,
narcissiques de l’âbime,
laissez vivre les poètes,
loins de vos prisons mentales.
Marionnettistes frustrées,
telle une Cléopâtre
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Je suis ce tendre amour
issu d’une subtile cour.
Ton parchemin vivra en moi,
à travers les siècles des émois.
Ta douleur sombrera dans l’oubli,
notre brasier éclairera l’infini.
Tu me reviendras à petits pas,
dans ce cœur au goût de
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Joyau de plénitude
qui courbe mon regard
sur le silence soyeux
et l’âme glisse sur la nuit
au sacre de nos vies
alvéolée de tendresse
De vous à moi
le souffle vogue
léger comme la plume
pour iriser l’espoir
et au petit matin
il reste le
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Invisible écran protecteur,
oiseau de solitude en mer,
bercé par tes précieuses dunes .
Sous ton bouclier protecteur,
règne cette multitude d’âmes,
aux discrètes pluies amères.
Le soyeux son de leurs pleurs,
offre l’espoir à l’écume,
qui nous
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La vie coule en toi_
filant la soie dans des
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Froissement d’ailes,
mille envols tourbillonnants,
en symbiose dans nos cœurs.
Pétales des mille voiles,
tissant un écran d’éternité
au firmament des sentiments.
Parchemin des cent mille lieux,
canevas d’un corps à cor,
sur des notes
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Sur tes arpèges
Narcisse te piège.
Le florilège des flatteries
couvre la glaise de ta vie.
Le peuplier n’a plus d’attrait,
arbre servile, sans intérêt.
Le fleuve doit suivre ta veine,
mais la mer, noire Comme l’ébène,
se déchaîne sous ce
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Allons forger le blé
comme deux oiseaux duvet
Prends ma main mon espoir
dérobe- moi
sur des sinuosités sans nœuds
Je veux du blanc
pour ceindre mes yeux
et brûler sous ta voix
immune comme ton fer de lance
Invente- moi
comme un phare dans ta
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Encre de tes yeux,
subtile Ambre d’un cœur,
tissant un doux émoi;
sur ce tableau vertigineux,
là où naît et meurt ma douleur,
je sauvegarde en moi ta voix.
Puis, je déshabille ce sentier enchevêtré,
qui brouillait les pistes du bonheur,
pour
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Sur le flot des eaux,
nos ailes couleur ivoire,
se déploient dans cet halo
et l’envol se précise en ce soir.
Drapés d’édredons en satin,
ces cieux
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Comme un chemin de pluie,
que le réceptacle de l’oubli
jette aux orties;
comme une vague de mots,
que
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Ne choisissez pas de perles fausses
ne prononce pas de mots étrangers
n'essayez pas de changer les choses
la vie a
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Tissée par les fibres de l’absence,
le chapelet de l’indifférence
répand une fiole au goût de fiel.
Ta douceur d’antan,
est ce dallage de marbre,
auquel il manque les jointures.
Ma toile des voiles,
ce triste dessein d’une amicale
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Ne snobe pas la lumière
inspirante et infinie;
ne dénigre pas sa sphère
à laquelle tu dois ta survie.
Ne détourne pas l’envol de l’ange,
ici, s’élève sa quête de délivrance.
Ne t’évertue pas à piloter sa vie,
aucun mystique ne sera son
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radieuse étoile,
illumine tous ces
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Le firmament scintille
dans cette trouée d’humanité,
gorgée d’indifférence.
L’innocence prime,
l’intelligence élève.
Une voix suave surfe
sur le fil de mon esprit.
je m’endors sur ce linceul d’amour,
drapé de couleurs chatoyantes,
qui
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Chaque flamme de tes yeux,
embrasait mon coeur silencieux.
Clin d’oeil dans ma galaxie,
inscrit sur ce parchemin de
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vagues soyeuses_
portant les douces
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Le temps flotte sans destin
et je sillonne toutes mes lunes
dans la nuit irisée
Moelleuse l’âme
gorgée d’infini
aux plus doux souvenirs
et ce bleu d’aquarelle
qui recouvre le dôme
amniotique
Les derniers songes
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ces cils fragiles_
comme la soie de son
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Amitié éteinte
sur l’écumeuse
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Écrire et ne plus haïr,
écrire sans s’illusionner,
écrire pour ne plus souffrir,
écrire afin de s’élever,
écrire comme une âme battante,
écrire contre toute attente,
écrire au coeur de la vie,
écrire au fil des tsunamis,
écrire par- delà
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Chaque pépite de ses yeux
embrasait mon cœur soucieux.
Chaque brindille de son âme
installait sa douce flamme,
là où
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Famille stérile,
ouate de vanité,
néant d’affection,
ternes âmes
ambrées de préjugés.
Indice d’une
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892 poesie pubblicate in Francese. In questa pagina dal n° 121 al n° 150.
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