Si ta voix reste grave,
Offre- nous des chemins d’agaves.
Préscris- nous des danses,
Habiles et emplies sens.
Inscris ton âme généreuse,
entre tes papiers et ta plume songeuse.
Là-bas, tes patients t’attendent,
Apprentis du silence
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L’éveil est déjà à son zénith.
A vos marques glorieux bénévoles,
Surfeurs attitrés des écueils administratifs,
Supers héros des temps modernes.
Oyez, oyez, éducateurs et parents hors pair,
Coeurs sensibles, organisateurs solaires,
Inspirés par
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Poursuivre tes rêves d’antan,
À l’ombre d’un village en fleur,
Surplombé de vastes monts,
Quintessence de tes souvenirs,
Unissant le meilleur au pire.
À l’aube de ton être sensible,
L’univers t’ouvre le champ des possibles,
Inscrivant sur ce
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Nouer des rêves invisibles,
Ouvrir les portes du chant,
Noyer ces fenêtres de prison,
Courir vers le champ des possibles
En songeant au son du bonheur;
Tierce
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Ventilez nos cœurs égarés,
âpres et mélancoliques,
livrés à cette averse désemparée.
Instillez dans nos veines assoupies,
ces flocons de neige,
emblèmes de nos songes ensevelis.
Le réveil symbolique de nos monts,
limpides et indolents,
insuffle
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Verser des notes de couleurs,
Au fin fond de nos coeurs meurtris.
Livrant des batailles, par amour maternel.
En toi se terrent des fêlures et des chants de merveilles.
Réfléchissant à la théorie des huit mondes,
inscrite sur le parchemin de ta
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Survoler les rues de la souffrance,
ombragées par le cri de l’indifférence,
pousser les limites du cœur,
hantés par un chant de douleurs.
Ici nous sommes dans les limbes
en attente d’une simple issue.
Le seul amour que l’on guette,
à l’abri des
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Longer les lignes du temps,
Assise loin des berges du sang,
Nouant des rêves en cascade,
Germés dans un esprit en
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Souvent les voiliers restent indolents,
oubliés des navigateurs,
prisonniers des amarres,
happés par des leurres.
Ici leurs voiles se
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Script d’une vie,
obole d’une amie
paysage serein,
havre de paix,
indicible chagrin.
Emblème du respect,
liberté des sens,
accroche de l’esprit,
nuage de l’absence,
grâce accomplie.
Arborescence des idées,
branches élevées,
étreintes de
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Si la vie s’avance,
Ouvrant le chant de l’espérance,
Puisant dans nos profondeurs,
Ce Hip hop comme danse de coeur,
Inspiré par des envolées physiques,
Emblème de notre instinct de survie.
Livrons nos notes de musique,
A ces partitions
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Seul un regard tourné vers le ciel,
Ouvre le champ de l’espoir.
Poursuivant les élans du cœur,
Hip hop de la joie du danseur,
Invitant l’esprit à quérir le corps.
Et si l’âme connait les préceptes du bonheur,
Lao Seu délivrera ceux de la
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Silhouette longiligne,
Orgue mélancolique,
Premières notes,
Hip hop cérébrale,
Improvisation scénique,
Empreinte thérapeutique,
Liberté approuvée,
Accroche récente,
Noce des sens,
Gymnastique des mots,
Arborescence invisible,
Beauté
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Soulever des montagnes,
Ouvrir les portes du cœur,
Poursuivre des rêves lointains,
Hiérarchiser nos premiers pas,
Identifier nos derniers émois
Et songer au son du bonheur.
La voici cette frêle lueur,
À l’orée de ces vertes vallées,
Nichées dans
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Seulement aller de l’avant,
ou s’approcher du vent.
Presque imprévisible,
héraldique invisible,
érrance du temps.
La longue- vue s’ouvre aujourd’hui,
à l ‘approche des contours de mon île.
Nul ne perçoit l’ombre de mes nuits,
gageure d’un
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Bercez nos esprits,
ouverts aux vagues de l’âme.
Révelez nos univers,
gravés sur vos monts,
opalins et champêtres.
Brodez dans nos cœurs,
ombragés et
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Le psy se trompe
L’essence de notre existence,
ne naît pas toujours,
au travers d’une froide analyse.
Frappez à la porte de notre esprit,
lisez au plus profond de l’âme,
rejoignez- vous dans nos aventures,
regardez combien de tsunamis et
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Versez vos couleurs,
au fin fond de nos cœurs,
livrez ces étoiles,
inscrites sur nos toiles.
Cristallines sont vos cimes.
Éternelles clés de
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Si les tsunamis scandent nos vies,
occultant nos parcours solaires,
prisme de nos projections délétères,
hâtant ce voyage vers un naufrage,
inscrit sur notre carte mère;
elle seule pourra se reprogrammer
Les voiles en lambeaux,
attachés à nos
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Visage lointain,
opus méditerranéen,
yacht maternel;
à l’ombre de tes enfants,
géniales prunelles de tes yeux,
émergeaient tes toiles,
emplis de soleils,
nébuleux et tendres.
Mère, tu es partie de notre horizon,
en ce triste jour
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Si cloisonner nos pensées,
organiser nos combats
psychanalyser nos silences,
hacher menu les pourfendeurs
inscrits sur ce chemin de vie,
était chose facile...
L’esprit reste vaillant,
amer et conquérant,
néanmoins meurtri,
grave et affaibli
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Sillons de vie,
ondes de joie,
prouesses du cœur,
halo de tout être.
Ici s’inscrit le souffle,
élégant dans sa flamme.
Lumière incertaine
astre lointain,
nuances de perles,
générées par nos pleurs.
Armons- vous de patience,
berçons l’horizon
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Siphonnez vos malchances
ombre de la nuit;
priez pour votre âme.
hâtez- vous de grandir,
ici ou ailleurs.
Enchantez vos lendemains,
livrant vos combats,
aux champs des impossibles.
Notez les absences,
gagnez en assurance,
à l’approche des
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Spirale de mots,
ouverts aux lendemains;
prisme de l’espérance,
happé par le doute;
ici règne la confusion
et le chaos des funambules.
Le fil d’Ariane s’emmêlerait- il,
À l’entrée de ce labyrinthe?
Noceurs et farceurs,
Gardez vos fausses
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Les aiguilles d’une boussole,
orientent mes pas,
vers une direction inconnue.
Au sud fleurissent les entrailles de la terre,
semblables aux racines des baobabs,
qui tissent l’ancrage d’un édifice humain.
À l’est, se profile le berceau de la
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Scannez mon esprit,
yeux de la conscience.
Jusqu’au fond de l’âme
à la recherche d’une énigme,
puisez dans mes profondeurs.
Logique dans vos pensées,
vous guettez tel un loup,
de remarquables indices
gérés par mes vicissitudes.
Ouvrir de
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Perdre la voix des silences,
où l’ombre regarde,
tout en creusant derrière chaque pas,
les voyages de l’inconscient,
accroché à une enigme.
Le long des déserts humains,
se profilent ces eaux cristallines,
qui étanchent ma soif,
des notes de
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Lumineuse princesse,
à l’aube de ton éveil,
Ö combien de sourires,
ravissent tes beaux yeux d’enfant.
Inscrite sur la partition
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Sur sur la fréquence de l’âme,
l’amitié folle, en exergue,
brise la grisaille des gens sourds à l’émoi.
Rivée sur la partition de ses patients,
l’indicible empathie l’emporte, et,
Noël se profile à sa porte.
À l’horizon, l’amie Isabelle se pointe,
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Silencieusement le flot de la vie,
Opère à l’abri des errances du passé,
Poursuivant cette quête de délivrance,
En hâtant le pas, vers une danse de résilience.
Irradier de fausses notes,
Enclines aux freins d’une époque révolue.
Longer ensuite ce
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